organisations dont les représentants ont été approuvés par la Conférence des Parties pour assister aux réunions de la Convention et du Protocole de Kyoto en qualité d’observateurs. Ils n’ont pas le droit de vote mais ont un droit de parole limité. Il s’agit notamment des unités du Secrétariat des Nations Unies et des organismes, institutions spécialisées telles que le FEM et le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), les organisations intergouvernementales telles que l’OCDE et l’Agence internationale de l’énergie (AIE), ainsi que des organisations non gouvernementales (ONG) et les organisations des populations autochtones. (Voir, par exemple, la décision 1/CP.16, par. 82).
prélèvement de 2% placé sur la vente des URCEs pour aider à financer le Fonds d’adaptation. Ce prélèvement a été étendu à l’ensemble des mécanismes de flexibilité en vertu des amendements au Protocole de Kyoto au titre de la deuxième période d’engagement. (Voir décision 1/ CMP8, par. 21).
coalition mondiale des entreprises et associations professionnelles engagées à participer de manière constructive à l’élaboration des politiques internationales sur le changement climatique.
méthode de gestion dans laquelle le coût des conséquences d’un risque est réparti entre plusieurs participants à une entreprise, comme en syndication. (Voir décision 1/CP16, par. 14 (e)).
pays ou membres de la communauté ayant une faible résistance aux impacts du changement climatique. (Voir décision 1/CP16, par. 11). Le préambule de la Convention stipule que les pays de faible élévation et autres petits pays insulaires, les pays ayant des zones côtières de faible altitude, les zones arides et semi-arides ou les zones sujettes aux inondations, à la sécheresse et à la désertification ainsi que les pays en développement ayant des écosystèmes montagneux fragiles sont particulièrement vulnérables aux effets néfastes du changement climatique. (Voir CCNUCC, préambule et décision 1/CP16, par. 97).